Rencontre au sommet entre l’AÉTÉLUQ et la direction générale
Rencontre au sommet entre l’AETELUQ et la direction générale Source : Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve Au moins une fois par session, les exécutants de notre association étudiante rencontrent la direction-générale de notre Université afin d’échanger sur nos différentes préoccupations et ainsi faire le point sur nos demandes portant sur l’amélioration de nos conditions d’études. Plusieurs de ces dossiers sont maintenant disponibles sur notre site internet. Le 21 janvier dernier, avait donc lieu une rencontre entre nos représentants étudiants et la direction générale afin de faire le point sur plusieurs questions et pour discuter prioritairement des dossiers portant sur l’amélioration de la carte étudiante, la mise en place d’un système de reconnaissance de l’implication étudiante et sur les frais afférents que nous payons qui soulèvent plusieurs questionnements. La carte étudiante: Ce n’est pas nouveau ni la première fois que l’AÉTÉLUQ fera une demande pour que les étudiants puissent avoir accès à une véritable carte étudiante. Mais cette fois-ci, nous avons un dossier qui présente diverses solutions et propositions. Les frais afférents: Comme la plupart des institutions universitaires du Québec, la TÉLUQ facture des frais institutionnels obligatoires (FIO). Savons-nous à quoi servent ces frais? Est-ce que ceux prélevés par la TÉLUQ sont proportionnels aux services offerts? Pour l’instant, notre enquête semble démontrer que l’on retrouve plus de services offerts dans certaines universités pour des montants égaux ou moins élevés que ceux de la TÉLUQ... Nous aurons donc quelques questions et clarifications à faire sur ce sujet. Reconnaissance de l’implication étudiante: L’AÉTÉLUQ tente par plusieurs moyens de favoriser la participation étudiante. Mais qu’en est-il des moyens mis en œuvre par la TÉLUQ? Est-ce qu’il y a des possibilités de les bonifier afin d’atteindre un objectif bien défini dans le nouveau plan stratégique de la TÉLUQ soit d’intégrer davantage les étudiants à la vie universitaire? Nous avons également abordé la question de la reconnaissance du mérite académique lors de la collation des grades. Il s’agit d’un dossier qui a été maintes fois discuté. Nous souhaitons que des mesures soient mises en place pour souligner le mérite académique des diplômés, notamment par l’attribution de mentions honorifiques pour les étudiants ayant performé au cours de leurs parcours d’études. Autre dossier primordial pour l’association étudiante sur lequel nous avons fait un suivi, celui de l’évaluation des enseignements. Faut-il rappeler qu’il s’agit d’un droit des étudiants de pouvoir participer à cette évaluation? De pouvoir faire une rétroaction constructive sur les mesures d’encadrement, sur le contenu des cours, sur les formes d’évaluations? Il s’agit ici d’un élément majeur pour s’assurer que la formation dispensée soit de la plus haute qualité possible. Il semble qu’une première tentative d’évaluation de l’encadrement a été réalisée au cours de l’été 2010. Quels en sont les résultats? Est-ce que le taux de participation a été intéressant? Quels sont les améliorations possibles du processus? Est-ce qu’une structure quelconque a été mise en place pour faire un suivi des résultats? Et quels moyens la TÉLUQ compte-t-elle mettre en place pour atteindre l’objectif qu’elle a reconduit dans son plan stratégique 2010-2015 soit de procéder à une évaluation systématique et régulière de l’enseignement? Cette rencontre, comme toutes celles qui nous permet de représenter les étudiant-es est des plus importantes tant pour nous que pour l’Université. La TÉLUQ, notre institution d’enseignement, n’a-t-elle pas tout à gagner en prenant en considération et en intégrant nos différentes demandes dans ses plans d’action? Prochaine rencontre prévue en avril 2011!
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