Amnistie internationale se préoccupe vivement des potentielles limitations à des droits fondamentaux protégés par le droit international des droits humains et les chartes canadienne et québécoise des droits et libertés de la personne
Alors que les débats sur la présentation du projet de loi 78 Loi permettant aux étudiants de recevoir l’enseignement dispensé par les établissements de niveau postsecondaire qu’ils fréquentent sont en cours à l’Assemblée nationale du Québec, Amnistie internationale se préoccupe vivement des potentielles limitations à des droits fondamentaux protégés par le droit international des droits humains et les chartes canadienne et québécoise des droits et libertés de la personne.« L’impact de ce projet de loi va bien au-delà de l’objectif du gouvernement. Amnistie internationale est notamment préoccupée par les limitations apportées au droit d’association et au droit de manifestation », déclare Béatrice Vaugrante, directrice générale d’Amnistie internationale Canada francophone. Communiqué ici
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