L'AETELUQ dépose un avis sur les phénomènes de plagiat, fraude et tricherie
Une journée d’étude intitulée « Notre université, à l’ère du copier-coller » s’est tenue le 25 mars 2010 à la TELUQ afin d’aborder les questions liées aux enjeux de l’intégrité académique. Plusieurs recommandations avaient dès lors étaient émises sans qu’aucune suite ne leur soit donnée. En mars 2011, un sous-comité réunissant uniquement des acteurs de l’UER Sciences humaines, lettres et communication a été créé afin de réfléchir sur la qualité des apprentissages et du plagiat. Ce comité s’est réuni avec le mandat de produire un texte en vue d’alimenter les réflexions sur le plagiat et les actions éventuelles au CUER pour le contrer mais sans toutefois pouvoir émettre des recommandations. L’AETELUQ souhaite prendre les devants dans ce dossier afin de délimiter ce que nous, les étudiant-es, jugeons souhaitables et acceptables comme réglementations, sanctions et façons de faire, et ce, tant dans un but de protection des étudiants que de renforcement de l’image de la TELUQ. L’AETELUQ estime qu’un des enjeux dans ce dossier sera de mettre en place des dispositions afin de clairement définir le sens de l’application de toute forme de plagiat et de fraude. Il nous apparait également pertinent d’instituer un cadre légal et intellectuellement disciplinaire afin de favoriser l’absence de toute forme de plagiat. Cela peut notamment prendre la forme d’outils pédagogiques ou encore par la définition précise de la procédure disciplinaire.
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