Notre société accorde une grande importance à la période des fêtes. Il s’agit d’un moment de festivités et de rencontres familiales. Cela est rendu possible en raison des congés fériés et de l’aménagement de vacances dont bénéficie la grande majorité de la population y compris les enfants qui bénéficient de congés scolaires pour passer du temps en famille et se reposer. Les fêtes de Noël et du Nouvel An sont également soulignées et célébrées dans un intervalle de 7 jours, ce qui contribue à la spécificité de cette période que l’on désigne dans le langage courant comme le temps des fêtes.
La Loi sur les normes du travail (L.R.Q., c. N-1.1, art. 60) fait du 25 décembre et du 1er janvier des jours fériés payés et chômés pour les travailleurs. Notre système scolaire, au niveau primaire, secondaire, collégial et universitaire, accorde aux élèves et étudiant-es un moment de répit au cours de l’année scolaire ou entre deux sessions. Toutefois, les étudiant-es de la TÉLUQ font exception à cette règle car leur session ne prend pas en compte la spécificité temporelle dans laquelle elle se déroule : elle se termine exactement 15 semaines après la date du début de leurs cours. Il importe néanmoins de reconnaitre qu’une session qui chevauche le temps des fêtes ne comporte pas les mêmes défis qu’une session qui se déroule à tout autre moment de l’année.
Comme nous l’avons évoqué précédemment, plusieurs facteurs peuvent influer sur la réalisation du projet d’études pendant cette période de l’année. Partant de ce constat, l’AÉTÉLUQ s’est penchée sur l’étude du bien-fondé de l’aménagement d’un congé pendant la période des fêtes pour les étudiant-es de la TÉLUQ.